La maladie de Parkinson : causes et traitement

Appelée aussi paralysie agitante, la maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative qui touche environ 1 à 2 % des personnes adultes de plus de 50 ans. Elle se traduit par des troubles du tonus, une akinésie ainsi que par un tremblement au repos qui peuvent être diversement associés. Elle peut également affecter le langage corporel et l’élocution.

Les causes de la maladie de Parkinson

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Les causes exactes de cette maladie sont, jusqu’à ce jour, inconnues. Il est encore difficile de connaître les raisons qui emmènent les cellules de la substance noire à mourir de façon prématurée. Toutefois, on observe dans cette maladie la formation dans les cellules atteintes des protéines anormales. De rares formes familiales de cette maladie ont été identifiées avec des anomalies génétiques qui favorisent la formation de protéines anormales au niveau des cellules malades et qui les font mourir.

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Ces protéines sont les mêmes que celles rencontrées dans les cellules malades de certaines personnes atteintes d’une pathologie qui présente des cellules de forme sporadiques”.

Le traitement de la maladie de Parkinson

Comme les personnes atteintes de la maladie de Parkinson manquent d’une substance chimique appelée dopamine, des médicaments tels que la L-dopa peuvent remplacer cette substance chimique manquante dans le cerveau. Pour obtenir un résultat plutôt correct, le malade doit prendre le médicament plusieurs fois dans la journée. Malheureusement, après seulement quelques années, les remèdes perdent leur efficacité et produisent des effets secondaires.

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D’autres médicaments doivent alors être administrés afin de renforcer les effets de la dopamine. Certains médecins essayent également de retarder la destruction des cellules restantes, mais l’efficacité des méthodes utilisées restent à discuter.

Lorsque les médicaments n’arrivent plus à apporter les effets attendus, l’implant d’électrodes qui seront reliées à un pace-maker ou stimulateur dans certaines parties du cerveau peut dans certains cas rétablir le fonctionnement des zones endommagées.

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Auteur de cet article :
Chloe Rabussier
Je suis Chloé, chargée de communication à l'Agence régionale de santé Nouvelle-Aquitaine (L'ARS) à Bordeaux, où je mets ma passion pour la prévention santé au service du public. Mon engagement se reflète dans ma quête personnelle de produits de beauté sains et éthiques, une harmonie que je partage avec enthousiasme sur des blogs. Je crois en une beauté consciente et informée, et à travers mes recommandations, je vise à inspirer les autres à prendre soin d'eux de manière responsable et informée.
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