9 critères pour trouver le meilleur vélo électrique

En ces temps où le respect de l’environnement, la santé et le bien-être apparaissent au centre des préoccupations, le vélo électrique séduit chaque jour davantage. D’ailleurs, le nombre de pistes cyclables a considérablement augmenté depuis quelques années. Il est cependant difficile de choisir un vélo électrique avec la quantité d’offres différentes présente sur le marché. Voici neuf critères qui peuvent aider dans le choix du meilleur VAE.

Pourquoi et où acheter un vélo électrique français ?

Plusieurs raisons peuvent pousser à choisir un vélo électrique français lors d’un achat. En effet, les avantages sont nombreux.

Le succès du vélo électrique français résulte de sa conception et de sa fabrication de qualité. Sa capacité à allier praticité et grande robustesse lui confère également un atout considérable. En outre, ces vélos disposent d’une grande autonomie. Les Français sont nombreux à recourir au VAE, principalement en raison de sa faible émission de dioxyde de carbone. Ce moyen de transport se révèle ainsi idéal sur le plan écologique.

Il est possible de choisir parmi plusieurs types de vélos électriques français. En l’occurrence, les vélos de ville électriques, les VTC électriques, les VTT électriques et les vélos électriques pliants.

Acheter un VAE (vélo à assistance électrique) peut se faire soit directement par un achat en ligne, soit auprès d’un magasin de cycles. Dans la mesure du possible, il serait mieux de pouvoir essayer le vélo avant de l’acheter. Pour cela, se diriger vers les grandes surfaces de sport, les chaînes spécialisées ou les magasins indépendants reste la meilleure option. Néanmoins, vous pouvez aussi consulter les avis des autres utilisateurs du vélo à partir des avis et vidéos afin de vous décider d’acheter votre bike sur le site du fabricant.

Il est aussi primordial de se méfier des grandes enseignes de la distribution qui proposent des vélos électriques à prix réduit. Il peut s’agir de promotions sans suivi.

La fonction du vélo électrique

Avant d’investir dans l’achat d’un vélo électrique, il est nécessaire de bien comprendre le fonctionnement de l’appareil. Il est également important de prendre en compte les contraintes liées à la possession d’un VAE, notamment le lieu de stationnement et de branchement.

Il faudra aussi connaître le type de vélo à acquérir en fonction de ses besoins. À cet effet, si votre besoin est quotidien pour aller travailler, il est nécessaire de trouver un vélo confortable et qui assure une position bien droite. Si le VAE est destiné à des trajets réguliers ou pour le plaisir, le mieux est de choisir un engin puissant et équipé de roues résistantes. Par contre, un vélo qui va majoritairement circuler en ville devra avoir un bon moteur. Enfin, si le VAE est destiné à faire le chemin entre deux villages, il faut prendre un engin disposant d’une autonomie considérable.

Enfin, il existe également des vélos électriques connectés qui permettent à la fois de sécuriser votre bicyclette (alarme, blocage de l’assistance, géolocalisation) et d’optimiser votre expérience utilisateur au niveau des informations (parcours, cycle batterie…) et de la maintenance (usure des pièces…).

Le moteur du vélo électrique

Le moteur est le composant qui confère au vélo son caractère “électrique”. Ce dispositif aide entre autres à démarrer à vive allure et pousse l’engin dans les montées.

La vitesse du VAE dépend de son moteur et du couple. La puissance maximale autorisée par la loi pour ce type de vélo est de 250 W. Même si la batterie de l’engin est capable de délivrer une puissance supérieure, les fabricants sont alors contraints de brider le moteur à 250 W.

En outre, la loi impose une vitesse maximale de 25 km/h pour les VAE. À cet effet, il est possible de les régler pour que l’assistance électrique se coupe automatiquement lorsque le vélo atteint cette vitesse. La loi interdit également l’utilisation d’une gâchette d’accélération afin d’éviter de pédaler. Cela s’applique même si le conducteur roule en dessous de 25 km/h.

D’autre part, le couple moteur est aussi un élément important à prendre en compte dans votre achat. Il s’exprime en Newton / mètres (Nm). Plus cette valeur est élevée et plus l’assistance électrique sera performante et vous accompagnera dans toutes circonstances. Par exemple, lors d’une pente raide ou en cas de fort vent de face, un moteur de 30 Nm ne pourra plus vous aider contrairement à un couple supérieur à 60 Nm.

Il est important de noter que la plupart des vélos électriques sont capables de rouler au-delà de 25 km/h. Cependant, si l’utilisateur désire rouler à cette vitesse, l’engin n’est strictement utilisable que sur voie privée. Le moteur est donc un élément à choisir avec soin pour une bonne durabilité.

La batterie : amovible ou non

Il est possible de ne pas avoir de prise dans son garage ou de ne pas pouvoir faire rentrer le vélo chez soi. Dans ce cas, il faudra enlever la batterie afin de la charger.

De même enlever la batterie est aussi un élément de sécurité. En effet, un VAE sans batterie est beaucoup moins intéressant pour les voleurs ! La majorité des VAE disposent de batteries détachables. Seuls quelques modèles dérogent à ce principe. Les raisons à cela sont notamment le cahier des charges (privilégier la légèreté du vélo) ou le style (cacher la batterie dans le cadre).

L’autonomie

Il existe des fourchettes très larges concernant l’autonomie selon plusieurs facteurs :

  • Le niveau d’assistance utilisé ;
  • le relief ;
  • le poids du cycliste ;
  • le gonflage des pneus ;
  • le vent ;
  • le transport d’un enfant, etc.

L’idéal pour déterminer l’autonomie d’un VAE est alors de louer l’appareil avant de l’acheter. Il sera ainsi possible d’avoir une idée du kilométrage réel.

En outre, au fur et à mesure que le propriétaire utilise le vélo, son autonomie diminuera. Néanmoins, les batteries des grandes marques garantissent des centaines de cycles de charge et de décharge. Il est donc important de penser à bien choisir la marque lors de l’achat.

vélo électrique

Le mode d’assistance

Il existe deux conceptions concernant l’assistance :

  • L’assistance « tout ou rien » : elle s’associe généralement à un moteur dans la roue. Elle fonctionne à l’aide d’un pédalier équipé d’un simple capteur de pédalage. Cette assistance donne un coup de fouet dès le démarrage. Parfois, elle peut sembler ne pas être adaptée au relief et occasionner des à-coups.
  • L’assistance progressive : c’est le moteur qui la fournit dans le pédalier. Elle nécessite un capteur de force et sa stimulation dépend de l’effort consenti. Il est possible de la doser, ce qui permet un pilotage aisé et confortable. Elle donne une sensation proche de la conduite d’un vélo classique.

De même, certains fabricants de vélos haut de gamme ajoutent des systèmes d’assistance piéton. Il consiste à déplacer le vélo à pied sans effort puisque lé vélo roule tout seul à une vitesse de 6 km/h. Ce système est très pratique dans les zones piétonnes et lieux où il est interdit d’être sur son vélo.

En cas d’hésitation lors de l’achat, le vendeur peut également apporter son expertise.

La position de conduite du vélo électrique

La position de conduite dépend de la forme du cadre. Il est donc possible de choisir un vélo qui procure une position droite et une position sportive.

Position droite

Cette position est classique, car elle correspond à celle adoptée sur la plupart des vélos de ville ordinaires. Ici, le guidon est haut et rapproché du cycliste. Son avantage réside dans son confort d’utilisation. En roulant sur un vélo qui permet cette position, le conducteur aura les bras relâchés ainsi que la tête et le dos bien droit. Ainsi, vous soulagez les lombaires et vous évitez les problèmes de dos.

Position sportive

Il est désormais possible d’adopter cette position sur un grand nombre de nouveaux modèles de vélos électriques. Ici, le conducteur sera plus penché vers l’avant afin de donner une sensation plus sportive et un plaisir de conduite accru. Ce sont notamment les VTT électriques qui permettent d’adopter cette position.

La disponibilité des pièces de rechange

Avant d’acheter un vélo électrique, le mieux est de vérifier si les pièces de rechange sont disponibles auprès du vendeur. Grâce à cette mesure, il sera ainsi possible de déterminer le sérieux de ce dernier. Dans le cas contraire, mieux vaut se rendre à une autre adresse.

Dans le cadre de l’achat d’un vélo électrique, il est également primordial de savoir si la batterie est disponible en pièces détachées.

À ce titre, nous vous conseillons des marques de vélos assemblés en France ou le SAV et la partie pièce détachée seront plus accessibles et plus sécurisants notamment au niveau du délai et du service.

La taille du vélo électrique

La taille du vélo dépend de son cadre. Les marques s’expriment de façon chiffrée ou en utilisant les lettres S, M, L, XL ou bien en taille unique.

Tout constructeur a sa propre logique de fabrication, donc chaque marque possède sa propre classification. Il est alors préférable de faire confiance aux recommandations du vendeur dans le choix de la taille. L’acheteur pourra ainsi rouler sans encombre et éviter les douleurs aux points sensibles tels que les genoux.

Il existe une hauteur maximale et une hauteur minimale, mais le conducteur peut toujours ajuster le vélo. Il est donc possible de régler la potence afin de déterminer la hauteur du guidon et d’ajuster la selle.

Il convient tout de même de mesurer l’entrejambe pour déterminer la taille de cadre la plus appropriée. Un essai préalable permet également de vérifier si la taille convient.

Enfin, vous trouverez sur le marché des cadres haut et bas, autrefois équivalents à des cadres homme et femme. Cependant, on parle aujourd’hui de cadre mixte puisque le côté pratique est souvent privilégié par l’utilisateur, peu importe le sexe. Ainsi, de nombreux hommes optent pour ce type de cadres dits « ouverts » qui facilitent l’enjambement et sécurisent le cycliste surtout en ville.

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Auteur de cet article :
Chloe Rabussier
Je suis Chloé, chargée de communication à l'Agence régionale de santé Nouvelle-Aquitaine (L'ARS) à Bordeaux, où je mets ma passion pour la prévention santé au service du public. Mon engagement se reflète dans ma quête personnelle de produits de beauté sains et éthiques, une harmonie que je partage avec enthousiasme sur des blogs. Je crois en une beauté consciente et informée, et à travers mes recommandations, je vise à inspirer les autres à prendre soin d'eux de manière responsable et informée.
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